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Mieux vivre avec son Diabète

Le diabète est actuellement l'une des plus fréquentes maladies chroniques non transmissibles dans le monde entier.

10% des dépenses mondiales de santé par an sont consacrées pour le diabète soit environ 760 Milliards d’USD.

Pour fonctionner, les cellules de l'organisme ont besoin de dioxygène et de glucose. Son apport dans l’organisme n’étant pas continu, le glucose doit être stocké par certains organes pour être toujours disponible. Le taux de glucose (glycémie) doit donc être régulé pour fournir un apport suffisant aux organes. Cette régulation est en grande partie assurée par l'insuline, une hormone sécrétée par le pancréas. II arrive que cette régulation ne fonctionne pas convenablement.

Ainsi lorsque l’organisme ne peut pas produire d’insuline, qu’il n’en produit pas suffisamment ou qu’il ne peut pas utiliser efficacement l’insuline qu’il produit cela déclenche une pathologie chronique : le diabète. Le glucose à forte concentration devient alors toxique pour l’organisme.

1 adulte sur 11 soit (463 millions d'adultes) vit aujourd'hui avec le diabète et 50 % d'entre eux ne savent pas qu'ils en sont atteints et courent donc un risque important de développer des graves complications liées au diabète1.

Les principaux types de diabète sont le diabète de type 1, le diabète de type 2 et le diabète gestationnel. Le diabète de type 1 est une maladie auto-immune et la principale cause de diabète chez les enfants. Le diabète de type 2 constitue la forme de diabète la plus représentée (environ 90 % des cas) dans le monde.

Que ce soit avec le diabète de type 1 ou de type 2, les diabétiques sont exposés à de nombreux risques de complications. Les déséquilibres de la glycémie provoquent des effets délétères sur l’organisme et peuvent créer de graves dommages sur les cellules, avec des répercussions sur différents organes.

Les vaisseaux sanguins possèdent tous en commun la même structure au contact du flux sanguin, l’intima. Cette tunique, présente dans tous les vaisseaux, est principalement constituée de de l’endothélium. Cette monocouche cellulaire qui tapisse l’ensemble des vaisseaux de l’organisme est un organe à part entière qui joue un rôle fondamental dans le contrôle du tonus vasomoteur, dans le trafic cellulaire et macromoléculaire, dans le maintien de la fluidité sanguine et dans les processus d’angiogenèse.

Le diabète exerce ses effets délétères sur les vaisseaux sanguins et sa cible principale est l’endothélium ainsi que la lame basale (interface entre les cellules endothéliales et l'intérieur de l'organisme). Cet agression sur l’organisme entraine diverses complications :

- Les complications macro-vasculaires

Les complications macroangiopathiques affectent les gros vaisseaux sanguins. Une glycémie trop élevée entraine un durcissement et un rétrécissement des artères. La formation de caillots peut boucher les vaisseaux suite à l’épaississement du sang.

Cela entraine en conséquence un risque d'AVC, d'infarctus ou encore d'artérite. 

- Les complications micro-vasculaires

Le diabète provoque également des altérations généralisées des capillaires sanguins aux conséquences lourdes (microangiopathies). Cette affection découle de la répétition d’agressions du métabolisme cellulaire par une trop forte quantité de glucose.

Ces altérations se caractérisent notamment par une diminution des capacités vasodilatatoires des vaisseaux (dysfonction endothéliale, neuropathie vasomotrice) et par un épaississement et une distension de la paroi des vaisseaux qu’ils soient nerveux, rénal, cutané ou rétinien. Ces dégradations finissent par impacter nuisiblement le fonctionnement des parties de l’organisme touchées et peuvent provoquer des troubles graves tels qu’une néphropathie, une rétinopathie, une neuropathie, une déplétion de la peau ou des ulcères trophiques principalement sur les membres inférieurs.

À l'échelle mondiale, 11,3 % des décès sont dus au diabète. Près de la moitié de ces décès survient chez des personnes de moins de 60 ans2.

Selon l’OMS, pour prévenir ou prendre en charge le diabète de type 2, il est nécessaire de favoriser un mode de vie qui comprend une alimentation saine, une activité physique régulière, le sevrage tabagique et le maintien d’un poids sain.

La prévention reste donc le plus sûr moyen de contrer le diabète.

L’activité physique assure ainsi l’augmentation de la circulation sanguine dans les tissus des jambes et l’amélioration de la perfusion au niveau du pied.

On estime que dans le monde, un membre inferieur est amputé (même partiellement) toutes les 30 secondes pour cause de diabete1

Il est envisageable d’accompagner les personnes diabétiques dans la prise en charge de la maladie en favorisant le tonus vasculaire et une meilleure gestion du stress. En entraînant un état de bien-être et de relaxation, STENDO® contribue à la stratégie de gestion du stress associée au diabète. Et, les symptômes tels que des engourdissements, des picotements et une perte de sensibilité peuvent être soulagés par une stimulation de la circulation sanguine.

La Pulsothérapie STENDO® stimule globalement la réactivité vasculaire et régule l’inflammation diffuse tout en favorisant une détente profonde par son effet hypotenseur. Tous les utilisateurs interrogés témoignent d’une meilleure perception de contrôle sur la maladie et d’une amélioration de la gestion des complications qui y sont liées.

BIBLBIO
1         L’ATLAS DU DIABÈTE DE LA FID
2.        Amoah VMK, Anokye R, Acheampong E, Dadson HR, Osei M, Nadutey A. The experiences of people with diabetes-related lower limb amputation at the Komfo Anokye Teaching Hospital (KATH) in Ghana. BMC Res Notes. 2018 Jan 24;11(1):66; DOI:10.1186/s13104-018-3176-1.

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